La 2e édition du Challenge « Industrie du Futur » est lancé
Dans l’usine d’aujourd’hui, la connexion entre les systèmes du monde réel et ceux du monde virtuel est une réalité. Dans un secteur où tout s’accélère, la digitalisation et les transformations qu’elle suppose ouvre le champ des possibles. C’est précisément la raison d’être de la deuxième édition du Challenge « Industrie du Futur ».
Depuis le 20 novembre 2018, l’officialisation de l’ouverture de la plateforme dédiée au chargement des candidatures permet aux start-up volontaires ou entreprises innovantes de se déclarer. Elles ont jusqu’au 15 février 2019 pour postuler. Au 1er mars, à l’issue de la première phase de sélection, les douze finalistes retenus verront leur projet accompagné jusqu’à la finale par des « experts métiers ». Durant cette phase d’approfondissement, les start-up pourront ainsi adapter leur projet au contexte industriel des organisateurs : ArianeGroup, Atos et SKF.
Le 6 juin 2019, se déroulera la finale sur le site du campus de l’espace à Vernon, dans l’Eure. Les finalistes y feront leur présentation devant les dirigeants des trois partenaires majeurs, ainsi que de nombreux autres acteurs de l’industrie française. A l’issue de ces présentations, le jury annoncera les cinq lauréats qui se verront décerner cinq prix distincts. À la clé pour les start-up les plus prometteuses, une dotation financière pouvant aller jusqu’à 6 000 euros.
Il s’agit de donner l’opportunité aux start-up et entreprises innovantes de soumettre un projet inédit afin de participer activement à la transformation de l’usine de demain. Ainsi, sept thématiques constituent le cadre de l’édition 2019 : la cybersécurité, la data science, l’usine connectée, l’humain au centre de l’usine, l’écologie dans l’industrie, les matériaux du futur, et enfin les nouveaux procédés de fabrication.
A la 1ère édition, au total, plus de 80 candidatures ont été réceptionnées et étudiées, pour aboutir à une rigoureuse sélection des quatorze projets les plus innovants. Quatorze talents sont venus présenter leur projet innovant dans les trois catégories piliers de l’industrie 4.0 (les matériaux et procédés du futur, la data science et cybersécurité et l’usine connectée et son écosystème), devant un jury composé d’experts d’ATOS et de SKF.