Haro sur la RSE ! Bonne ou mauvaise nouvelle pour la mécanique ?

La directive Omnibus vise à simplifier les obligations de transparence, mais l’industrie mécanique ne doit pas relâcher ses efforts. Anticiper la transition écologique est crucial pour rester compétitif, maîtriser les risques et répondre aux exigences des investisseurs et donneurs d’ordre. Par Sébastien Laderach, directeur général de Mountains Group.
Depuis le 26 février, l’Union européenne débat de la directive Omnibus, un projet de simplification des obligations de transparence en matière de durabilité. Accusée d’être trop contraignante, la réglementation actuelle va-t-elle être révisée pour alléger la charge des entreprises ? Pour l’industrie mécanique, où la gestion des ressources et la compétitivité sont clés, cette évolution est-elle une opportunité ou un risque ? Un cadre structurant pour l’industrie mécanique Certains dénoncent un excès de bureaucratie. Pourtant, au-delà du simple reporting, ces exigences offrent aux industriels un véritable outil de pilotage pour gérer leurs performances environnementales et économiques. Optimisation des coûts et…contenu réservé aux abonnés
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