SWISSCOOL 8000 : testé et approuvé par un atelier de mécanique

Bien que satisfaite par son fournisseur d’huile soluble, l’entreprise de mécanique UMP a bien voulu tester le lubrifiant miscible à l’eau de MOTOREX, élaboré selon sa nouvelle technologie polymères. Les résultats ont été convaincants.

C’est à partir de l’organisation d’une journée technique proposée par le distributeur haut-savoyard de métaux, outillages pour le décolletage et lubrifiants industriels Depery Dufour au sein même des ateliers de l’entreprise de mécanique UMP (Ubersax Mécanique Précision) qu’un partenariat entre UMP et MOTOREX a vu le jour. L’idée de cette journée, organisée à Marnaz le 19 septembre 2019, était de présenter d’une manière plus concrète les produits commercialisés par Depery-Dufour. Dont le nouveau soluble SWISSCOOL 8000 du Suisse MOTOREX.
Mais pour le directeur d’UMP Pascal Meynet, l’opération n’était pas si simple. Car d’une part, M. Meynet utilisait déjà un lubrifiant haut gamme, avec lequel tout allait bien. « Il fallait vraiment que je m’y retrouve financièrement et que les techniciens soient contents », se souvient le directeur. C’est alors qu’en profitant de sa programmation annuelle de vidanges des machines, en été, que deux d’entre elles (DMG Mori 600V et Sigma Flexi 7) ont été alimentées avec la SWISSCOOL 8000.

Des techniciens au départ réticents
Au départ, les techniciens d’usinage étaient plutôt réticents. « Vous savez, personne n’aime le changement, glisse Pascal Meynet. Mais j’ai poussé mes techniciens à faire l’essai. Par contre, il était hors de question de rencontrer des problèmes dermatologiques. Je leur ai dit que s’il y en avait un qui se gratte, qui a les yeux qui piquent ou qui ressente une mauvaise odeur, à l’instant T je faisais la vidange et j’arrêtais tout. »
SWISSCOOL 8000 est un soluble développé à partir de la technologie polymères, laquelle vient améliorer sa stabilité, en plus d’être exempt de bore et de formaldéhyde. Doté de nouveaux additifs de performance, il garantit, selon MOTOREX, une excellente mouillabilité et un effet de refroidissement et de lubrification optimal. Lors de la journée technique, le centre d’usinage DMG Mori réalisait des opérations de perçage profond et de taraudage, tandis que le centre d’usinage vertical Sigma Flexi fraisait des lopins en inox. Des machines équipées des différents outils distribués par Depery-Dufour couplés avec le produit MOTOREX. Une journée qui venait d’une certaine manière clore cette campagne d’essais débutée en été. Malgré le peu de recul, Pascal Meynet peut assurer avoir « tout de même gagné en productivité, entre 10 et 15 %, sachant que nous avions déjà un lubrifiant de grande qualité ».

« Une vraie différence »
Florian, un jeune fraiseur spécialiste 5 axes de 26 ans, reconnaît avoir observé que « les outils à plaquettes s’usaient un peu moins vite. Mais, comme nous travaillons sur des petites séries de pièces, c’est quand même difficile de constater à ce jour une vraie différence ». « Nous usinons beaucoup de matière mi-dure, des aciers 40 CMD 8 prétraités à 110 kg, enchaîne Pascal Meynet. Avec MOTOREX, j’ai rencontré de très bons résultats sur les états de surface. Aucunes piqures sur les tables des machines ni sur les pièces. » Enfin, ce dernier s’est rendu compte d’une plus faible consommation avec MOTOREX, « mais sans que l’écart soit pour autant du simple ou double ».
Jean-Luc Metral est technico-commercial métaux et huiles chez Depery Dufour et commercialise les huiles MOTOREX depuis 10 ans. Pour lui, l’essai du nouveau lubrifiant MOTOREX chez UMP est particulièrement révélateur de son efficacité. « Car il s’agit d’une entreprise de mécanique, soulève-t-il. Parce qu’elle usine toutes les matières possibles et imaginables. Et ce ne sont pas des machines qui vont tourner 24 heures sur 24 et 365 jours par an. L’huile soluble, indépendamment des performances constatées sur l’état de surface, l’usure des plaquettes, et autres, reste un produit compliqué à gérer, c’est à 95 % de l’eau que l’on mélange à l’huile. Mais ce qui est aussi le plus important, c’est la stabilité du produit dans le temps, parce que dès qu’elle se dégrade, alors la performance se dégradera aussi. » Et de conclure : « Quand le produit reste stable chez un mécanicien, on est sûr qu’il le sera partout ailleurs. »
Satisfait, et s’y retrouvant aussi sur le prix, Pascal Meynet attend la prochaine vidange annuelle pour remplir l’ensemble de son parc machines-outils avec le soluble SWISSCOOL 8000.