Des solutions pour protéger les salariés contre le virus

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Par Jérôme MEYRAND Publié le  29/05/2020
Des solutions pour protéger les salariés contre le virus

Qu’il s’agisse de lingettes, visières plastiques, ouvre-portes mains libres, panneaux de protection contre les projections de gouttelettes de salive, masques et même armoires de décontamination, voici quelques solutions qui seront bien utiles aux entreprises désireuses de reprendre leur activité post-confinement en garantissant la meilleure sécurité possible pour leurs collaborateurs.

Un plasturgiste lance sa gamme d’équipements de protection contre le Covid-19

Spécialiste européen de la plasturgie, Dedienne Multiplasturgy Group vient de commercialiser une gamme de produits de protection individuelle et d’intérieur baptisée Protectiv. Ainsi, l’entreprise de Saint-Aubin-sur-Gaillon (Eure) propose son kit visière Protectiv Ultra-Light fabriqué avec des stations de fabrication additive, utilisant la technologie Multi Jet Fusion. Disponible à l’unité, il peut être personnalisé avec un logo, précise-t-ille. Avec un poids de 48,5 grammes, cette visière est composée en PET (polytéréphtalate d’éthylène), un polymère à la fois léger et extrêmement solide, résistant aux produits chimiques, alors que le support est en PA11, une biomatière produite à partir d’huile de ricin et adaptée au contact avec la peau. Le kit visière Protectiv Light+, lui, est fabriqué grâce au savoir-faire de la PME dans l’injection plastique. « Le moule pour une production de masse a été créé en un temps record de quinze jours », souligne l’entreprise créée en 1974. La vitre de la visière est également constituée de PET.
Dedienne Multiplasturgy fabrique également des écrans de protection de bureaux et comptoirs sous la marque Protectiv Desk, ainsi que deux types d’ouvre-portes mains libres Protectiv Door, afin de ne plus avoir les mains en contact avec les poignées de portes. Ces ouvre-portes sont fabriqués en impression 3D à partir de PA12, une matière plastique très résistante qui ne craint que peu la détérioration ou la casse. 
Si le groupe avait depuis longtemps l’ambition de lancer des produits en son nom propre, c’est bien cette crise sans précédent qui en a accéléré le processus de création vitesse grand V, indique-t-on au sein du groupe, qui comprend quatre sites en France, deux autres en Roumanie et une usine aux Etats-Unis. « Comme de nombreuses entreprises, nous avons eu une perte significative d’activité depuis le début de la crise du coronavirus. Le temps est désormais venu pour les entreprises d’organiser rapidement leur reprise d’activité, tout en garantissant aux salariés et aux clients des conditions de travail sécurisées, affirme son PDG Pierre-Jean Leduc. Dans ce contexte, nous sommes fiers chez Dedienne Multiplasturgy Group de pouvoir participer concrètement à ce défi inédit et de soutenir la reprise d’activité de toutes les entreprises en proposant une gamme de produits de protections de haute qualité, durables et fabriqués en France. Nous sommes aussi conscients qu’en tant qu’individu nous souhaitons nous protéger, protéger les autres et notre famille. C’est pourquoi notre action cible également les particuliers. »

Un spécialiste des présentoirs de luxe élargit sa gamme pour répondre à l’urgence sanitaire

Dans le Doubs, la PME familiale de Chalezeule Plastiglas a conçu des hygiaphones, claustras de séparation et autres visières, afin de garantir une meilleure sécurité pour les salariés contre tout risque de transmission du coronavirus. Ce spécialiste dans la création de présentoirs de luxe propose désormais une solution de séparation pour les comptoirs d’accueil, bureaux, postes de travail en atelier, ainsi que des éléments de séparation pour les restaurants d’entreprise. Des ensembles qu’elle réalise également sur mesure, avec la possibilité de procéder aux relevés de dimension sur place. Pour la fabrication, l’entreprise située près de Besançon dispose d’un parc de machines à commande numérique, lasers de découpe et de gravure et autres plieuses, pour travailler le Plexiglas ou le polycarbonate. Pour les entreprises manufacturières, Plastiglas a développé des éléments afin d’isoler les opérateurs dans le cadre de postes en ligne, a-t-elle indiqué dans la lettre d’informations économiques des régions Bourgogne-Franche-Comté et Grand-Est, Traces Écrites. La taille de ces claustras (cloisons ajourées) peut varier, selon l’utilisation, sur le poste de travail ou sur le sol, en autoportant.

Des panneaux transparents pour des open spaces sécurisés

Concepteur et fabricant spécialisé dans les solutions de traitement des effets de la réverbération sonore, Zonocalm, une marque de la société DCM, s’est appuyé sur son savoir-faire afin de proposer aux entreprises l’installation de panneaux antiprojections pour protéger les collaborateurs dans les différents espaces de travail. Ces panneaux, totalement sur-mesure et personnalisables, sont composés uniquement d’un cadre en aluminium anodisé (gris, blanc ou noir) et d’une membrane en PVC transparente. « Ces solutions ont été conçues pour être faciles à installer soi-même, sans l’aide d’un professionnel », indique DCM, à Amiens (Somme).

Un masque respiratoire adapté à la morphologie du visage

Afin de répondre à la demande de masques réutilisables, la start-up française AnatoScope a conçu une solution écologique de protection respiratoire qui s’adapte à la morphologie du visage. AnatoMask est conçu en impression 3D à partir d’une application de scan 3D, téléchargeable sur un smartphone, où la personne peut alors scanner son propre visage ou celui d’un autre. « Le fichier 3D obtenu est à envoyer à AnatoScope, qui analyse votre morphologie, et produit les fichiers 3D personnalisés, prêts à imprimer », explique la jeune pousse spécialisée dans les dispositifs médicaux sur mesure et implantée à la fois à Grenoble et Montpellier. Elle précise que le masque obtenu après impression 3D peut être lavé et réutilisé à l’infini, « limitant ainsi la consommation de masques à usage unique », d’où son concept écologique. Avant de créer AnatoMask, le directeur Frédérick Van Meer est parti du constat suivant : « En fonction de la morphologie du visage, les masques proposés aujourd’hui laissent des voies d’air entre le nez, les joues, ou même le menton […] nous voulons donc personnaliser les masques avec un simple scan 3D, pour une protection optimale. Cette solution s’appuie sur les technologies brevetées que nous développons déjà pour le domaine dentaire ou orthopédique. »
AnatoScope collabore déjà avec différents acteurs pour le design, l’impression 3D, la production de filtres et les tests de conformité. La société se donne comme objectif de rendre disponible des masques avant la fin juin. Et prévoit de développer, pour cet été, son propre logiciel de capture 3D AnatoFace, « afin de recevoir directement les demandes, et faciliter l’accès à cette nouvelle technologie en plein boom ». Encore en phase de tests, l’AnatoMask est prévu pour être opérationnel en juin, affirme la start-up.

Des visières à usage unique

Uvex a développé une visière de protection du visage à usage unique. Celle-ci protège contre les gouttelettes et les éclaboussures de liquides, et réduit ainsi le risque d’infections transmises par voie aérienne. L’écran de protection est en PET et possède un traitement antibuée sur la face interne. De taille unique, cette visière s’ajuste par un bandeau élastique à tous les tours de tête compris entre 54 à 64 cm, indique le fabricant. La visière est certifiée selon la norme EN 166 sur la protection des yeux et ne protège pas contre les impacts mécaniques comme la projection de particules à hautes énergie. « Les visières font depuis longtemps partie du portefeuille produits. Afin de couvrir également le domaine de la protection faciale légère, nous avons conçu en quelques semaines une protection faciale à usage unique, qui est précisément adaptée aux exigences actuelles, et peut être rapidement produite en grande quantité et, en tant que produit complémentaire, elle s’intègre très bien dans le reste de la gamme de protection oculaire Uvex », a expliqué, en avril, le Dr Marco Wacker, directeur de la division protection des yeux et de la tête au sein du groupe Uvex Safety.

Un pistolet pour désinfecter les surfaces

Graco propose un appareil pour désinfecter « presque toutes les surfaces en toute sécurité, rapidement et en profondeur », affirme-t-elle dans un communiqué. Pour cela, ce spécialiste américain des systèmes et composants d’application des fluides a développé la gamme de pulvérisateurs SaniSpray HP, répondant aux exigences de temps de séchage chimique, précise-t-il, et quelle que soit la superficie ou le support à désinfecter. Et d’ajouter « une construction unique avec des composants de haute qualité compatibles avec les désinfectants et les désodorisants, contrairement aux équipements de peinture airless traditionnels ».

Un service de décontamination des locaux par nébulisation

La désinfection des locaux peut être une solution efficace pour lutter contre l’infection du coronavirus dans les entreprises. Pour cela, Venteo propose un service de décontamination adaptée à la lutte contre le Covid-19. Quelle que soit la taille des entreprises, ce spécialiste français de l’amélioration de la qualité de l’air et de la performance énergétique des bâtiments propose d’assainir les différents espaces de travail. Avant d’intervenir, plusieurs points seront abordés, comme la nécessite ou pas de désinfection tel ou tel local ou sur le choix des produits de nettoyage. Car il s’agit d’une « étude approfondie des locaux » que conduit Venteo afin de « proposer un accompagnement ciblé en fonction des besoins des entreprises ». Et d’ajouter que « le virus peut-être aussi véhiculé par l’air qui est repris par certains systèmes de ventilation ». C’est la raison pour laquelle, l’entreprise de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) assure également la désinfection des systèmes de ventilation.
Venteo s’appuie sur la décontamination par nébulisation. Un procédé qui garantit, selon elle, une action virucide dans les bureaux, via un protocole de décontamination précis. Il consiste à pulvériser un produit sous forme de brouillard, à partir d’un nébuliseur à froid. La PME utilise un produit par micropulvérisation, « conforme à la norme Virucide, certifiée EN14476, et efficace sur le coronavirus ». Lors de leur nébulisation, les particules désinfectantes se répandent partout dans les bureaux. Le procédé ne nécessite aucun rinçage, ne tâche pas, n’utilise aucun alcool et il est exempt de chlore. Enfin, Venteo assure que la décontamination par nébulisation est non corrosive et non irritante. L’entreprise dit utiliser des produits éco-labellisés et certifiés par la norme Ecocert, laquelle garantit qu’ils sont respectueux de l’environnement et non nocifs envers l’homme, tout en préservant la qualité de l’air. Le procédé s’applique dans des locaux vides, avec un temps d’inoccupation total de trois heures après l’intervention, pour laisser le temps à la solution de sécher et d’être ventilée.

Un robot pour désinfecter les locaux

A l’heure où étaient écrites ces lignes, le robot était testé dans des locaux industriels avec les partenaires de leurs concepteurs. Car cette innovation, développée afin de répondre à la problématique de désinfection des locaux en raison de l’épidémie de Covid-19, est le fruit d’une collaboration de plusieurs entreprises : Innowtech et Sterixene, qui se sont elles-mêmes associées à trois autres sociétés, Sirea, Fadilec et Alfileo. Et elles ont été accompagnées par le BIC Innov’up, l’incubateur de projets et d’entreprises innovantes de la chambre de commerce et d’industrie du Gard. Leur projet étant de proposer « une solution innovante et pertinente pour la désinfection des locaux », affirment les deux entités, dans un communiqué commun. En mutualisant leur savoir-faire en robotisation, automatisme, gestion de l’énergie et IoT, et en s’appuyant sur les compétences de Sterixene pour l’élimination de virus et bactéries, les cinq entreprises ont développé un robot de désinfection de l’air et des surfaces. « Il sera capable de se déplacer de façon autonome, sans fil, et de réaliser des opérations de désinfection tout en communiquant avec l’opérateur », indique l’incubateur implanté à Nîmes, dont Innowtech est issue. Cette dernière apporte toutes les technologies robotiques et les développements pour l’autonomie du robot, tandis que Sterixene a mis à profit ses compétences en désinfection par lampe de type LED ultra-violet. Également hébergée auprès de l’incubateur BIC Innov’up, elle a mené les premiers essais en laboratoire.

Une armoire au plasma pour désinfecter rapidement les masques réutilisables

En raison de la crise liée au coronavirus, Plasmatreat propose la mise à disposition de son prototype d’armoire de stérilisation au plasma pour la désinfection des vêtements de protection et masques, en vue de leur réutilisation. « Le traitement au plasma atmosphérique apparaît comme une petite lueur d’espoir dans la crise du coronavirus qui sévit », affirme l’entreprise allemande. En effet, en association avec un procédé spécial, le plasma se distingue notamment par son excellent pouvoir désinfectant. Pour ce spécialiste, dont la filiale en France se trouve aux Ulis (Essonne), même les germes les plus robustes multirésistants ne survivent pas au plasma, « des matériaux sensibles à la chaleur qui, de ce fait, ne peuvent pas être traités par des procédés à chaud sans être endommagés », tels que les vêtements de protection.
Plasmatreat a mis au point une solution de désinfection par plasma basée sur un tout nouveau principe de fonctionnement. Le générateur de plasma ionise l’air, qui permet de décomposer les molécules. « Cette ionisation provoque une perte d’électrons sur les atomes d’oxygène. Ces électrons réagissent avec l’eau activée par plasma pour produire des radicaux hydroxyles, -OH et H2O2 connus pour être des désinfectants extrêmement efficaces », décrit-il. Et de préciser que cette méthode avait déjà été éprouvée, dont les résultats avaient donné un taux de réduction microbienne supérieur à 1 M CFU (colony-forming units) lors d’un cycle de traitement d’environ vingt minutes. Le traitement s’était avéré efficace sur des surfaces lisses que rugueuses, comme par exemple sur les masques de protection. Ce procédé de désinfection au plasma est donc une solution qui offre l’avantage de désinfecter rapidement les masques déjà utilisés, afin de pouvoir les réutiliser. L’armoire de stérilisation PTSC580, d’un volume de 580 litres, contient des grilles amovibles sur lesquelles sont posées les pièces à désinfecter. Il existe également une version permettant de suspendre des combinaisons légères sur des cintres. L’armoire est capable de stériliser environ trente masques dans un cycle sécurisé de moins de trente minutes.

Des lingettes désinfectantes fabriquées en France

Fabricant français de produits imprégnés sur support, Euro Wipes a lancé, en raison de l’épidémie de Covid-19, ses propres lingettes désinfectantes. Confronté à une demande pressante de ses clients, dont les délais de développement d’un nouveau produit sont difficilement compressibles, Euro Wipes dit avoir capitalisé sur son expertise en développement produit de soin pharmacie, afin de pouvoir mettre à disposition des marques un produit clef en main. L’entreprise a récemment procédé à d’importants investissements en outils de production « pour renforcer son expertise ». Ainsi, ses lingettes désinfectantes sont imprégnées d’une solution efficace contre les bactéries et les virus, et non irritante pour la peau. Le Français assure que leur efficacité a été testée sur des souches de bactéries et virus responsables des infections respiratoires. « Elles s’utilisent en toutes circonstances pour désinfecter les mains, les objets et les surfaces du quotidien, décrit-il. Son usage unique en un seul geste garantit également une grande sécurité d’utilisation. » Pour Guillaume Cantelou, directeur général d’Euro Wipes, appartenant au groupe Anjac Health & Beauty, « en cette période de pandémie, nous nous devons d’assurer la continuité de la production et d’appliquer les mesures d’hygiène et de protection les plus élevées pour la sécurité de nos collaborateurs. Pas de chômage partiel, toute l’équipe est mobilisée, avec une organisation interne adaptée au jour le jour : seul le personnel indispensable est sur site de production, le reste de l’équipe en télétravail ».

Lavettes : un service de ramassage dans des conteneurs hermétiques

Afin de maintenir leur capacité de travail, il est impératif de nettoyer régulièrement les machines, les outils et les accessoires, rappelle Mewa. Le spécialiste allemand des lavettes industrielles souligne que ses produits peuvent être livrées à la porte des ateliers, dans des conteneurs de sécurité hermétiques (SaCon). « Même en période de coronavirus », l’entreprise fondée en 1908 assure être en capacité de fournir « des entreprises essentielles à l’approvisionnement ou à la production ». Les conteneurs seront ensuite collectés par Mewa, puis les lavettes seront lavées sur ses différents sites du groupe et, enfin, à nouveau livrées aux clients. « Sur nos lignes de lavage, les lavettes sont lavées à une température de 90°C pendant au moins quinze minutes, détaille Philipp Mell, directeur de Mewa France. Ce processus élimine complètement tous les germes et les micro-organismes. Nos lavettes peuvent ainsi être prises dans les containers SaCon et être utilisées sans aucun danger. » Le groupe précise que ses lavettes textiles continuent à être fabriquées en Allemagne et qu’elles peuvent être réutilisées plusieurs fois après leur lavage. « Toute pénurie d’approvisionnement est exclue », assure-t-il.

Des bornes de distribution de gel hydroalcoolique sans contact

En raison des mesures sanitaires qui doivent être prises par les entreprises afin de protéger leurs salariés contre le risque d’une contamination au Covid-19, KEP France a développé une gamme de produits répondant à ce besoin. Dénommée Hydrogeste, elle se décline en une borne de distribution manuelle de gel hydroalcoolique, et un autre modèle, digital et automatique, celui-ci, pouvant être fixé contre un mur. Les deux permettent de distribuer du gel « en quantité optimale à chaque utilisateur » et sont disponibles également à la location, « avec la possibilité de souscrire un contrat d’approvisionnement en gel hydroalcoolique », souligne son fabricant, qui se trouve être spécialisé aussi dans les interfaces homme-machine. Avec la borne Hydrogeste Eco, la PME implantée à Aytré (Charente-Maritime) a conçu un distributeur prenant la forme d’une colonne, munie d’une pédale qui permet d’éviter tout contact lors de la distribution du gel. L’entreprise souligne qu’il peut s’intégrer à des points de passage stratégiques, tels que les halls d’accueil, bureaux et sanitaires. Le bidon d’un litre avec pompe se positionne par le dessus, indique-t-elle. Le distributeur qui se fixe au sol est sécurisé par un capot verrouillable par clé, afin que le flacon de liquide aseptisant ne puisse être dérobé.
Quant à la borne digitale de distribution automatique de gel hydroalcoolique, celle-ci est dotée d’un écran tactile ou non, de 15 ou 21,5 pouces. Associée à la solution DMCware développée par KEP France, cette borne permet de créer et diffuser à distance du contenu personnalisé, en affichant, par exemple, des informations d’usage et de rappel des gestes barrières, afin de minimiser les risques de contamination. « A ces messages de prévention peuvent s’ajouter d’autres supports de communication propres aux clients : communication interne de l’entreprise, publicités », évoque le fabricant charentais. Le logiciel peut notifier la rupture proche de gel hydroalcoolique, via l’envoi d’un email ou SMS, « grâce à un astucieux système de comptage du nombre de passages devant la borne », précise-t-il. La borne murale peut recevoir des bidons d’un, deux ou cinq litres. Il est possible de lui rajouter un pied pour le fixer au sol.

Des solutions pour protéger les salariés contre le virus
Jérôme MEYRAND - Rédacteur en chefFormé aux microtechniques, devenu journaliste en blouse bleue, passé par l’ESJ Lille.

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